Relance féministe solidaire

Le projet

Ce projet de 3 ans (2021 à 2024) est financé dans le cadre du Programme de promotion de la femme de Femmes et Égalité des genres Canada.

La FFANE entreprendra, en collaboration étroite avec un comité composé de partenaires à travers la province, d’adapter le Plan de relance économique féministe du YWCA et de l’Institute for Gender and the Economy à la réalité des femmes francophones et acadiennes en Nouvelle-Écosse, avec une lentille francophone représentative de la dualité rurale urbaine de la province. Ce plan sera ensuite mis en œuvre aux niveaux provincial et régional, informé et appuyé par l’expertise et la riche expérience des parties prenantes

La Relance féministe solidaire en Nouvelle-Écosse permettra de réduire les effets négatifs de la pandémie sur la situation économique des femmes francophones et acadiennes, de renforcer l’accès des femmes aux postes décisionnels et d’influence et d’assurer l’inclusion de la perspective des femmes francophones et acadiennes dans la relance provinciale. Ce projet permettra de commencer à démanteler certains obstacles systémiques qui ont été exacerbés par la pandémie.

 

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Plan de relance

Ce Plan vise spécifiquement à soutenir toutes les femmes d’expression française en Nouvelle-Écosse dans leur épanouissent sur le plan professionnel. 

Le Plan de relance contient une mise en contexte résumant la situation des femmes dans la province, et les effets de la pandémie. On y retrouve les priorités des femmes de la Nouvelle-Écosse, des pistes de solutions pour les décideurs politiques, les employeurs et les membres de la communauté en général, ainsi que des recommandations pour créer du changement à long terme. 

Le Plan vise à garantir à toutes les femmes d’expression française de la Nouvelle-Écosse un accès au marché du travail dans le respect de l’équité et à offrir les moyens de concilier vie professionnelle et vie personnelle. 

Ce Plan de relance est financé dans le cadre du Programme de promotion de la femme de Femmes et Égalité des genres Canada (FEGC). Ce projet vise à de réduire les effets négatifs de la pandémie sur la situation économique des femmes francophones et acadiennes, de renforcer l’accès des femmes aux postes décisionnels et d’influence et d’assurer l’inclusion de la perspective des femmes francophones et acadiennes dans la relance provinciale. Ce projet permettra de commencer à démanteler certains obstacles systémiques qui ont été exacerbés par la pandémie

 

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La transparence salariale

Le Plan de Relance féministe solidaire post-covid vise à garantir à toutes les femmes acadiennes et francophones de la Nouvelle-Écosse un accès au marché du travail dans le respect de l’équité, de renforcer l’accès à des postes décisionnels et d’influence et d’assurer l’inclusion de la perspective des femmes francophones et acadiennes dans la relance provinciale.

Dans le cadre de ce plan, la Fédération des femmes acadiennes de la Nouvelle-Écosse (FFANE) présente ce cahier contenant des mises en contexte afin de démystifier l’équité et l’écart salarial entre les genres ainsi que la transparence salariale dans le milieu professionnel.

On y retrouve des recommandations pour créer du changement à long terme ainsi que des pistes de solutions pour les décideurs politiques, les employeurs et les membres de la communauté en général afin de concrétiser le droit à l’équité salariale et à des conditions de travail justes pour les femmes.

Transparence Salariale

Combien le paye-t-on, lui?

Au Nouveau-Brunswick, les femmes gagnent 92 dollars pour chaque 100 dollars que gagnent les hommes. C’est ce qu’on appelle l’écart salarial entre les genres.

L’écart salarial entre les genres touche les femmes dans toutes les fourchettes de revenu, tous les niveaux de scolarité et toutes les tranches d’âge.

Dans son plan quinquennal 2005-2010, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a misé sur des mesures volontaires pour corriger l’écart salarial. Plus de 10 ans plus tard, l’écart salarial persiste.

Ce cahier contient des informations et un questionnaire visant à appuyer votre réflexion sur un nouvel outil pour réduire l’écart salarial qui existe encore au Nouveau-Brunswick : la transparence salariale.

Combien le paye-t-on, lui?

Légiférer la transparence salariale

Dans notre société, on nous apprend à ne pas parler de notre salaire. Cette norme sociale renforce la culture du secret. Mais qui en profite le plus ? Les employeurs.

Comme il est tabou de parler de salaires, il est difficile de savoir :

  • Quel est le salaire de l’emploi auquel on postule ?
  • Comment nos salaires passés influencent nos revenus de demain ?
  • Les femmes sont-elles moins bien payées que les hommes ?
  • Les emplois à prédominance féminine sont-ils sous-valorisés ?
Défendons nos droits